I.1. Symptôme dominant

Tous les symptômes ne sont pas d’égale importance diagnostique. Il

existe en général un symptôme qui trouble le malade plus que les autres, celui qui en fait constitue le motif principal de la consultation ou de l’hospitalisation. C’est ce qu’on appelle symptôme dominant et qui peut être n’importe quoi par exemple la fièvre, diarrhée, coma, palpitations cardiaques. C’est une bonne règle de ne pas poser des questions importantes à ce stade. Une fois qu’on a essayé de se faire une idée du diagnostic à partir du symptôme principal, alors il devient plus clair de s’enquérir au sujet des symptômes associés que le patient peut avoir omis de mentionner.