Ceux-ci se groupent en antécédents héréditaires, collatéraux,
familiaux et personnels.
parents du patient. On s’enquerra s’ils sont morts de vivant, quelle est la cause de leur décès ou de leurs maladies.
malade. On s’informe de leur état de santé, s’ils sont morts ou vivants et quelles maladies ou causes de leur décès.
dont il faudrait ainsi connaitre l’état de santé.
Il faut noter que bon nombre d’affections intéressent les membres d’une même famille par leur mode de transmission soit héréditaire, soit contagieuse. Parmi elles, on peut citer l’HTA, diabète, goutte, hémophilie, TBC… d. Antécédents personnels : Les informations doivent être obtenues
concernant les affections antérieures, opérations et accidents d’après chaque état individuel et de préférence en ordre chronologique. Les antécédents personnels peuvent concerner :
Zárate (laxité pubienne) ; iii. Intoxication : alcoolisme (cirrhose), tabagisme (cancer bronchique) ; iv. Allergie et immunisation : allergie médicamenteuse (pénicilline, sulfamidés, nivaquine), alimentaire (poissons, certains fruits), saisonnières (faim, fleur), immunisation, vaccination (VAT, BCG, DITE PER).
Relation médecin – patient
En plus de la réponse du malade à son état, il faut dire un mot sur les
inter-réactions entre le patient et son médecin. Ces relations sont de types complexes car elles résultent du jeu des différentes personnalités dans des situations potentiellement instables. N’importe quoi peut donc en résulter allant de l’harmonie à l’antagonisme. Aussi verrait-on le patient manifester une attitude d’agressivité, de défensive, de calme ou parfois de séduction à l’égard du médecin. De part sa position d’observateur neutre, le clinicien à ce stade, n’a pas le droit de réagir aux malades troublants par une attitude plus ou moins apparente de réprimande, de colère, de désapprobation ou de rejet. Mais par analyse de ses propres sentiments c’est-à-dire de l’effet que le patient exerce sur lui, le clinicien peut souvent gagner une perception beaucoup plus claire de ce que le patient essaie de réaliser. Ainsi le médecin pourra trouver une meilleure solution à une situation en ayant conscience et en étudiant les sentiments que lui inspire son malade plutôt qu’en procédant sans contrôle.